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Les évenements

Tag: libertin

Gamiani, ou deux nuits d’excès, fantasme romantique et volupté interdite

« Deux femmes nues, étendues sur un canapé, baignaient dans une lumière de lampe rose, leurs jambes croisées, leurs bras nus posés comme des promesses. ...

Thérèse philosophe, une initiation aux plaisirs dans le boudoir des ...

« Il faut que le corps pense, et que la pensée se donne un corps. » Elle s’appelle Thérèse, elle a dix-huit ans, une éducation ...

Jean de La Fontaine ou l’art délicat de faire jouir ...

« L’amour fait plus d’esprit que le vin. » Jean de La Fontaine, Les Amours de Psyché et Cupidon On connaît Jean de La Fontaine ...

Les Exploits d’un jeune Don Juan, Apollinaire ou l’éveil brûlant ...

Il est des livres qu’on ne lit pas à haute voix, non par pudeur, mais par nécessité. Parce qu’ils chuchotent davantage qu’ils ne proclament et ...

L’École des filles, ou comment la philosophie du plaisir s’enseignait ...

« Le monde n’est composé que pour le plaisir, et tout ce qui ne le regarde point est sottise. » L’École des filles, 1655 En 1655, ...

Le Pape Pie II, écrivain secret du désir

Lorsqu’on évoque la littérature érotique, quelques grands noms surgissent immédiatement à l’esprit : Sade, Anaïs Nin, Pauline Réage ou encore Virginie Despentes. Mais il est ...

Les Égarements du cœur et de l’esprit de Crébillon fils, ...

Au XVIIIᵉ siècle, les perruques sont aussi volumineuses que les intrigues amoureuses et la littérature se fait l’écho des battements effrénés des cœurs en quête ...

Aphrodite de Pierre Louÿs, le classique coquin qui fait encore ...

« Il n’y a qu’une morale : c’est l’amour » affirme Pierre Louÿs dans Aphrodite. Voilà qui donne le ton à cette escapade littéraire sensuelle ...

Le Con d’Irène de Louis Aragon, quand l’érotisme surréaliste ose ...

S’il existe un domaine littéraire où les frontières entre poésie, provocation et érotisme se mélangent sans complexe, c’est bien celui exploré par Louis Aragon dans ...

Justine ou les malheurs de la vertu, quand Sade titille ...

Si certains romans se savourent au coin du feu, le livre du Marquis de Sade, lui, se déguste plutôt en rougissant discrètement derrière ses rideaux ...