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Ces hommes célèbres écrivaient aussi de la littérature érotique…

Vous pensiez qu’il fallait vivre dans un cloisonnement louche, tomber dans l’addiction à la pornographie zoophile et ne pas avoir trop bien coupé le cordon avec sa maman pour passer ses nuits à écrire de la littérature érotique ?

Les auteurs qui vont suivre vont vous prouver le contraire…

L’auteur pour enfant, Roald Dahl

On connait surtout Roald Dahl pour ses textes destinés à un jeune public : “Charlie et la chocolaterie”, “James et la pêche géante” ou encore “Matilda”, des histoires où les enfants prennent leur revanche sur un monde hostile et cruel – celui des adultes.

Ce que l’on sait moins, c’est qu’il a également écrit des nouvelles osées qui ont été publiées dans le magazine Playboy, et qu’il a signé un roman très sulfureux “Mon Oncle Oswald” qui retrace les aventures d’un érotomane qui monte une entreprise pour collecter le sperme de célébrités revendu à de richissimes clientes.

 

Notre président, le coquin Emmanuel Macron

Emmanuel Macron aurait écrit ses premières histoires érotiques à l’âge de 17 ans. Alors qu’il venait de rencontrer celle qui allait devenir sa future femme, Brigitte Macron, il aurait demandé un service bien particulier à sa voisine…

« À cette période, je faisais de la dactylographie », se souvient une voisine. « Je le connaissais du quartier et un jour, il m’a demandé de taper les trois cents pages d’un livre qu’il venait d’écrire. C’était un roman osé, un petit peu cochon ! Les noms n’étaient bien sûr pas les mêmes mais je pense qu’il fallait qu’il exprime ce qu’il ressentait à l’époque. »

Cet extrait est issu du livre autobiographique, Brigitte Macron, L’Affranchie (éditions l’Archipel) de Maëlle Brun.

L’affabulateur, Jean de la Fontaine

L’auteur du “Corbeau et du renard”, de “La Cigale et la Fourmi, et de toutes les autres fables moralisatrices qu’on lui connait, et qui sont apprises par nos chères têtes blondes par coeur, s’est aussi essayé aux contes licencieux. Des contes qui ne nommaient pas l’acte en tant que tel mais qui contournaient la censure moralisatrice de l’Etat par des doubles sens et des jeux de mots.

 

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